14-20 avril 2013, avec Didier, Marc, Christian, Michal, Philippe, et Raymond.

Samedi 13: Paris-La Forclaz (1727), en train et car postal

Dimanche 14: Vallon de Bréona et col (2916), Cab. de Moiry (2825)

Lundi 15: Point de Bricola (3658), pointe sans nom (3662) et Pigne de la Lé (3396). Nuit à la Cab. de Moiry

Mardi 16: Col du Pigne (3140), Cab. d'Arptitetta (2786).

Mercredi 17: Dôme de Moming (3651), Arête du Blanc (~3730), Cab. du Mountet (2886)

Jeudi 18: Col Durand (3436), Mt. Durand (3713), Shönbienhütte (2694)

Vendredi 19: Col de la Tête Blanche (3589), Col de Bertol (3268), Arolla (1968), puis car pur Sion et nuit à l'auberge de jeunesse. Petit restau avec risotto servi dans une forme de grana, et vino Primitivo.

Samedi: train pour Paris

  • Gl. du Durand
  • Départ vers le Mt. Durand
  • Blanc de Moming et Gl. du Mountet
  • vers le Col Durand
Objectif du jour: remonter le Glacier du Durand, celui de gauche dans cette photo de la veille, jusqu'au col, puis le Mont Durand, a gauche du col. Et nous voilà sur le glacier, après une courte descente depuis la Cabane du Mountet.  Un peu avant le col, une vue de l'Arête Blanc, et pourquoi il fallait le remonter pour prendre pied sur le glacier.  A Gauche le Blanc de Moming, et derrière, le Weisshorn. J'arrive au col un peu après le peloton de tête (Didier, Christian, Philippe) qui sont descendus de l'autre coté et qui sont en train de remonter vers l'épaule.  Je coupe par l'arête, plus exposé, mais plus court. Il n'y a pas beaucoup de neige, mais assez pour monter à ski, grâce au couteaux; Raymond me suit.  Arrivé à l'épaule on chausse les crampons pour la dernière partie. 

  • Montée finale du Mt. Durand
  • Au Mt. Durand
  • Seracs ... faut y aller vite
  • bien passé
  • casse-croûte
  • la morène vers Shönbiel
    Ja pars derrière Didier, entre neige et rocher, pour une autre vue splendide au sommet. Pour terminer on descende le Horoänggletcher, on passe à coté de ses séracs, et on pause dans la vallée pour casser la croûte. Il ne reste que à suivre la moraine pour remonter à la Shöenbienhütte - pas long, mais sous le soleil des 14h00 et sans un fil de vent.  La sueur dégouline dans les yeux et je dois m'arrêter souvent pour le sécher, autrement ça pique. Content d'arriver au refuge, je me mets en slip pour laisser sécher les vêtements, et je me lave un peu avec la neige.  Ça fait du bien de se quitter toute la crème du visage et de se rafraîchir un peu.

    Avec ces photos, et d'autres du Cervin depuis le refuge, la pile de l'appareil s'est épuisé, donc pas de photos le dernier jour - dont la fin s'est déroulé dans le brouillard, puis sous la neige et enfin sous la pluie, le tout sous l'oeil (et le GPS) expert de Didier, qui nous amène à 30 m de l'arrêt du car postal.  À Arolla on attend le car postal qui arrive un petite demi-heure plus tard.  
    • Risotto nel grana ...
    • .. e il suo vino
    Le soir, on profite d'un restaurant italien bien sympathique, avec un bon risotto servi dans une forme de grana, et un très spécial vin Primitivo pour l'accompagner.